Tirer des leçons du passé pour appréhender l’avenir : le cas des forêts de pins

L’est de la forêt tempérée canadienne abrite de nombreuses espèces endémiques, dont le pin rouge (Pinus resinosa Ait) et le pin blanc (Pinus strobus L.). Ces deux espèces d’arbres sont prisées depuis des siècles par les communautés autochtones pour, entre autres, leurs usages médicinaux et la construction de canots. Elles sont aussi importantes pour l’industrie forestière depuis le xixe siècle. Depuis l’époque préindustrielle, les pins rouges et les pins blancs se font plus rares à la limite septentrionale de leur aire de répartition, plus particulièrement dans le sud-ouest du Québec.

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