Les mousses et leur symbiose bactérienne jouent une nouvelle partition : adaptation face à la poussière minière

On pourrait dire que la forêt boréale est comme un grand orchestre, où chaque instrument joue son rôle pour produire une harmonie. Les mousses, en particulier, sont comme les musiciennes de fond, souvent discrètes, mais essentielles à l’équilibre de l’ensemble. Si vous marchez en forêt, vous les verrez couvrir le sol comme un doux tapis vert. À la manière de l’isolant dans une maison, elles gardent le sol frais, humide et régulent la température. Les mousses abritent diverses bactéries qui aident à nourrir la forêt, tels des chefs d’orchestre invisibles qui donnent la tonalité à l’ensemble du système. Cette association représente jusqu’à 50 % des apports en azote dans la forêt boréale.

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