GESTION DES ANIMAUX À FOURRURE : QUAND TRAPPEUR·EUSE·S ET NATURE COHABITENT EN HARMONIE

Dans les paysages variés de l’Abitibi-Témiscamingue, les gestionnaires d’animaux à fourrure modernes, trappeur·euse·s, sont conscient·e·s de l’importance de maintenir un équilibre entre les populations animales et leur environnement. Contrairement à certaines idées reçues, la trappe n’est pas une activité destructrice. Au contraire, elle est régie par des réglementations strictes et des pratiques éthiques visant à minimiser l’impact sur les populations animales et leurs habitats. La trappe et la foresterie sont deux pratiques distinctes, mais complémentaires dans la gestion durable des ressources naturelles. La foresterie s’occupe de la gestion des forêts, tandis que le piégeage se concentre sur la gestion des populations d’animaux à fourrure. Un·e trappeur·euse est ainsi perçu·e comme un·e gestionnaire de la faune, régulant les populations en respectant les cycles naturels des espèces et en préservant leurs habitats. 

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