La sylviculture au cœur des discussions du 81e Congrès de l’AFAT

Lorsqu’elle est arrivée dans la région pour faire de la recherche sur la sylviculture intensive au début des années 2000, Annie DesRochers se souvient avoir dû faire face à la méfiance parce qu’elle convoitait des friches agricoles pour y installer des plantations de peupliers hybrides à croissance rapide.  « On m’attendait avec une brique et un fanal en me disant : ‘‘tu ne viendras pas planter des arbres sur les terres que mon grand-père a défrichées’’. Mais quand les gens voient que ça se peut, ça leur tente de le faire », soutient la chercheuse, qui a commencé cette année à récolter les premières plantations réalisées à l’époque, une matière ligneuse précieuse en raison de sa proximité avec les usines de la région.  

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